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| Cet été comme chaque année, nous avons organisé les plongées profondes réservées aux plongeurs niveaux 3. Les deux premiers jours, la météo n’était pas au rendez-vous et nous obligeait à nous rabattre sur des sites de repli. Par contre à partir du mercredi, les conditions étaient enfin réunies et nous pûmes enfin profiter de nos épaves dans la rade. Miquelon, Drome et Ker-Bihan. Pour certains ayant passé leur niveau 3 en fin de saison passée, c’était une première, pour d’autres, ce fut l’occasion d’étrenner leur qualification Nitrox confirmé et de faire leur première plongée déco. | ![]() |
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D’autres que bien plus expérimentés ne connaissaient pas encore le Ker-Bihan. Je suis que chacun se reconnaitra dans ces mots. Outre, la faune classique, nous avons également pu observer les tacots qu’on ne rencontre pratiquement que sur les épaves chez nous, alors qu’ils sont légion et beaucoup plus gros en Bretagne, enfin c’est ce qu’on m’en a dit, car je suis plutôt un fana des eaux chaudes et claires et je n’ai jamais pu lé vérifier de mes propres yeux. Rendez-vous l’année prochaine. |
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Photos: Didier Boghossian
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Marc, Geneviève, Didier, Bruno, Luc et moi avons décidé de faire une plongée que nous n'avions plus faite depuis très longtemps. Nous voici donc partis avec le "Barracuda II" en direction de l'île de Jarre, pour une plongée sur la grotte Mystérieuse. L'île Jarre a une particularité d'être truffée de grottes dont celle de "l'Arc en Ciel" non loin du rocher du Briançon et la "Mystérieuse" plus loin, dont l'entrée se trouve à 15 mètres de fond et d'une vingtaine de mètres de longueur, avec une angle droit qui nous fait découvrir la sortie. |
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Nous avons pu y voir un congre gigantesque long d'environ 1,8 m, d'un diamètre impressionnant, bref une belle bête, quelques langoustes peuplent les anfractuosités des parois coralligènes. A la sortie nous avons vu un mérou, des sars, des suscles, maindoules, qui étaient toute affolées car il devait y avoir un prédateur dans les environs. En résumé, une belle plongée a faire et refaire |
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Photos : Marc MORAND / Jean Claude EUGENE
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Nous voilà après un petit crochet par la Martinique arrivés sur un catamaran à Saint Vincent et aux Grenadines,un groupe de 32 îles qui forme un état ,situé entre la Martinique et la cote Caraïbe du Venezuela. Pendant deux semaines ce ne sera que du bonheur,de l'eau,des poissons ,des tortues, des coraux,du sable blanc, des plages immenses, des hamacs ,du rhum ...mais malheureusement.. ! Bien barré par notre capitaine Geneviève le cata a accosté sur ces îles paradisiaques. |
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Nous avons atteint « Moustique »réputée pour ses résidents désargentés qui se prélassent sur des hamacs,entre deux palmiers sur une plage déserte. Les vagues nous ont porté ensuite vers « Mayereau »,dominée par sa petite église avec un point de vue imprenable sur « Union » ,nous voulions louer du matériel de plongée mais le dive center était fermé, dommage... mais nous nous sommes rattrapés plus tard,sur « Union » et les « Tobagos Cays ». « Union » est une île importante, animée et on peut manger un délicieux crabe des palmiers farci. |
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Mais ce que nous ne savions pas c'est qu'elle abritait un redoutable pirate le « captain Harris » pourfendeur de langoustes et champion des Caraïbes du « lever le coude ». Nous voilà obligés pour lui échapper de fuir à travers les contrées désertiques des « Tobaggo Cays » on n'y trouve qu'un grand ciel bleu et une eau cristalline un peu trop chaude ou se prélassent des groupes de tortues de mer au milieu de dauphins joueurs et des animaux féroces prêts à bondir sur nous. |
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Heureusement nous avons pu trouver refuge sur « l’îlot Morpion », petit grain de sable au milieu de la mer des Caraïbes Nous avons hissé les voiles direction Saint Vincent (149),île sauvage et mystérieuse ,théâtre des exploits du « Pirate des Caraïbes » version américaine. |
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Notre croisière dans les Grenadines s'est achevée à Sainte Lucie ,île dominée par ses deux pitons et par le volcan de la Soufrière. A Sainte Anne nous avons retrouvé la Martinique et bouclé notre beau voyage. |
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C'est une plongée que l'on ne fait plus depuis très longtemps et pourtant que de choses à découvrir. Au départ la grotte "Arc en Ciel", qui démarre par 5,6 mètres de fond pour atteindre à sa sortie une quinzaine de profondeur (souvent prise pour la mystérieuse, qui elle se trouve plus loin du Briançon) avec sa sortie qui se découpe dans le bleu avec bien souvent un banc de sars qui vous attend. Nous continuons sur des gros blocs de rocher où les Mérous jouent à cache-cache avec les photographes.
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Nous arrivons alors, après un bon palmage, sur l'arche du Briançon qui se découpe dans le bleu, où des bans de sars impassibles vous ignorent, mais se prêtent volontiers à la pose photo. A notre retour nous croisons: daurades, loups, dentis, murénes, mérous, labres, chapons, rascasses, etc.
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| Voilà une plongée qui ne dépasse pas les 25 m de profondeur, ce qui nous permet de rester une soixantaine de minutes à contempler la faune, dont nous remarquons et pouvons dire, qu'après le moratoire sur les mérous, la diminution de la pêche intensive, le chalutage prés des cotes, et autre braconnage depuis s'est nettement améliorée. |
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_ Jeudi 13H 30 : je suis de retour de mon pays natal « Madagascar ». _ Vendredi : lessives, rangement des valises. _ Samedi 8H30 : je suis à Callelongue au rendez vous des plongeurs. Départ pour Caramassaigne. Immersion avec Guitou, la température de l’eau nous surprend ( 3 jours de mistral sont passés par là), l’eau est néanmoins claire. Tranquillement, mais sûrement, avec mon binôme photographe nous explorons bloc après bloc, en posant l’un pour l’autre pour la photo d’ambiance. Nous nous entraînons pour le Challenge. A dire vrai à 20 mètres, on n’a pas grand-chose à photographier. 45 minutes se sont écoulées, nous sommes dans la zone des 5 mètres lorsque le festival commence : 1 mérou fuyard passe devant nous rejoindre deux autres copains à 2m, ils « speedent » devant nous, de rocher en rocher. Je ne parviens pas à immortaliser l’instant, trop rapides les mérous. Mais Guitou, plus technique que moi, en « shoote » deux. Nous poursuivons notre chemin pour rejoindre le bateau, un banc de sars- tambours valse devant nous. Hallucinante vision ! Toujours pas au point, je réalise des photos minables, ils sont trop loin les bougres, Guitou les zoome… et toc ils sont dans la boite. On remonte sur le bateau, heureux. Moi avec plein d’images dans la tête et Guitou … dans l’appareil. Je sens que la concurrence au Challenge va être très dure ! Martine MALEGUE |
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