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Alibi tout trouvé puisque ce Salon est dédié à la femme … enfin à la plongeuse ! 1) Où comment Martine n’a pas réussi à entrer dans le Salon malgré le courrier d’invitation que lui avait donné « notre » président Lucien (en fait, il aurait fallu le billet d’entrée avec le courrier …), « Président, président, président !!! » |
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| Martine et le Président Samedi soir, 18h30, l’apéritif est annoncé sur le stand corse. L’apéritif corse au salon, comment vous dire, c’est, un peu comme à Callelongue, une institution ; c’est « the place to be », l’apéro à ne pas rater. Donc zou, j’embarque mes deux brunettes avec moi pour gouter patrimonio et lonzo. Sur le stand, ça se bouscule et joue des coudes pour arriver près du comptoir, on goute, regoute (faut être sûr !) et je papote avec le monsieur en chemise blanche qui est derrière le comptoir. Martine se penche alors vers David pour lui glisser un discret « c’est qui ? ». « Le Président » répond celui-ci. « De la Corse ? » se fait confirmer lou ravie, qui n’en rate décidemment pas une ! « Non, de la Fédération » s’exaspère l’expert en réglementation. Et là, tout lui revient, les cours initiateur où je lui ai rabâché que JL Blanchard était le président de la FFESSM et qu’il fallait le savoir pour l’examen. C’est donc toute tremblante qu’elle tend la main vers Jean-Louis, en bafouillant un timide « vous êtes Jean Louis Blanchard ? ».
Quelques bises et photos plus tard, l’anecdote aura bien faire rire notre président (de la Fédération !), amusé qu’on le prenne pour un serveur corse et nostalgique de Callelongue et de l’époque où il plongeait aux Goudes. Figurez vous qu’il se rappelle même de Gégène ! Désormais, il se rappellera aussi de Martine de Callelongue ! |
On peut retrouver cette histoire sur le blog de Marc Santner, un ancien moniteur de MSLC qu ia du arrêter la plongée pour des problèmes de santé. Elle rappellera certainement des souvenirs aux anxciens du club
En descendant les marches de la gare St Charles je me dis que Marseille sera toujours Marseille car arrivé en bas, j'arrive à attraper un taxi qui faisait semblant de remonter prendre son tour à la file de la gare; bien sûr, en voyant ma valise le chauffeur a ralenti et de ses yeux interrogateurs, il me hurle en silence qu'il est très libre… moi je gagne une demie heure d'attente et lui… aussi.
Je monte donc dans ce havre de compréhension mutuelle.
Ce n'est qu'au bout d'un moment, quand il a commencé à prendre la rue Paradis, que je lui ai juste dit :
- Ho, garri, m'embrouille pas trop, je suis né à Menpenti et j'ai prononcé à la marseillaise "Minpinti" avé l'assent tonique sur le "pin" pour qu'il n'y ait aucun doute sur mon authenticité, si inventée soit-elle.
- Et pour aller à Callelongue vaut mieux passer par la corniche… Que j'ai continué en serrant les lèvres…
D'un regard étonné dans son rétro bien tourné il m'assure juste que c'était en vue d'un éventuel embouteillage mais il bifurque pour obtempérer.
Le pire des échecs est de ne pas essayer…
Hé? Et puis c'était pas marqué sur ma tronche que je connaissais la ville !
- Ouèille et vous allez quoi faire à Callelongue si c'est pas indiscret ? Me demande-t-il avec une parfaite indiscrétion ; Il continue de me dévisager dans son rétro mais je sens que j'ai remonté de deux points dans son échelle des gogos à ne pas plumer. Comme j'ai envie de m'amuser un peu, je lui lâche, très sérieux :
- Ho ? Vous ne lisez pas les journaux ?
- Bé non, et il m'explique pourquoi : Figurez-vous que le Méridional et le Provençal sont toujours en train de s'asticoter et chacun tourne les informations à sa guise; Nous, ici, on appelle ça un conflit de canards et on préfère écouter la radio.
- Un conflit de canards ? Pourtant on est pas dans le Gers, souris-je du bon jeu de mots
- Ouèille et y'à quoi de marqué sur les journaux, que j'ignore?
- Vous n'êtes pas au courant ? On va faire un film avec Alain Delon, dont le cadre sera Callelongue
- Hé l'autre ! Pour l'embrouille vous craigniez dégun, vous ! Vous n'avez pas d'autre cagade à me sortir? Il est franchement hilare mon taxiteur. On a déjà tourné un film, à Callelongue, avé Depardieu, "le grand frère" que ça s'appelait, hé bé Georges, le patron du bar, il s'est fait des couilles en or : figurez vous que le Depardieu il buvait des "cent deux", c'est deux cinquante et un dans un seul verre, et dès huit heures du mat' s'il vous plait! Il se languissait les prises de vue alors il se faisait des prises d'anis… Enfin bref, ça a tellement gonflé les femmes de tous les pébrons*, habitant de la rue des Pébrons en plus,* qui prenaient des bitures avé l'acteur, qu'elles l'ont interdit de séjour, tout Depardieu qu'il est !
Pour le coup, ma tentative tombe à l'eau… du pastis.
| Comme chaque année, MSLC plongée organisait son réveillon. Cette année, 28 convives se sont retrouvés pour fêter le nouvel an dans une ambiance chaleureuse, avec un repas préparé par notre chef cuistot Jean-Michel. La soirée s'est terminée tard dans la nuit où chacun a ensuite repris le chemin de ses pénates après s'être assuré grâce à l'éthylomètre de Lucien qu'il était dans les normes légales pour pouvoir reprendre la route. Bonne année à tous ceux qui n'étaient pas présents.
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| Ce lundi 26 décembre, trois courageux (Philippe, Audrey et moi-même) se sont retrouvés pour une plongée d'après Noël et éliminer ainsi les surplus de calories des repas de Noël. J'ai par ailleurs pu me familiariser avec le caisson du D7000 de Sami pour préparer le voyage aux Cocos. La surprise a été du coté température de l'eau remontée à 15°C au palier, étonnant vu le fort mistral des jours précédents. | ![]() |
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Les Rois Mages dans les calanques. Pour l’arrivée des Rois Mages à Callelongue, les premiers coups de manivelle viennent d’être donnés. Après avoir accueilli le père noël, pour la 3° année consécutive, le club de plongée de Callelongue a décidé d’inviter les rois mages, qui ont accepté avec joie leur invitation, pour voir enfin le nouveau né, ce qui va leur réserver bien des surprises, après un aussi long voyage. |
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