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1er juin 1915 : la France délaisse l'uniforme garance et adopte pour son armée un uniforme plus sobre de couleur bleu horizon, elle remplace aussi le képi par le casque. 

Le 1er juin, c’est la fête de saint Justin, patron des philosophes, et le dicton du jour est :
« A la saint Justin, soleil de juin luit de grand matin ».
En effet, en ce samedi 1er juin 2019, le soleil luit de grand matin et l’équipée habituelle de trois Morses marcheurs (Jean-Claude, Marc et Frédéric), friands d’horizon nouveau, délaissent les chaussures de ville pour celles de randonnée, s’équipent de chapeaux de soleil et de bouteilles d’eau pour une balade au Bout du monde.
Départ du port de Callelongue à 9h10 pour une montée en direction du sémaphore du Cap Croisette, merveilleux parcours en corniche avec des panoramas sublimes à hauteur du Pas de la Demi-Lune, véritable balcon paysager sur la ville; puis, début d’une descente dans le vallon plus verdoyant de La Mounine.

C’est de la roche calcaire qui structure ce grand paysage côtier avec sa blancheur éclatante, découpée, écrasante même ; puis, elle plonge de manière abrupte dans les eaux d’un bleu profond de la Méditerranée.
C’est un terrain d’aventure par excellence où vit la biodiversité la plus riche mais aussi la plus fragile, recouvert par endroits d’îlots de garrigue dominés par des silhouettes du Pin d’Alep souvent tortueuses car exposées aux vents violents. Cet ensemble paysager enthousiasme l’infatigable président de MSLC qui en redemande.
Alors, c’est le franchissement du col de la Galinette (« petite poule » du provençal "galino" - c’est aussi le nom donné au rouget grondin; variante orthographique : « gallinette ») qui leur permet, en prenant un raccourci, de rejoindre le Grand Malvallon à partir du Vallon de la Mounine.

Ce raccourci, juste après le col de la Galinette, est toutefois rendue possible en dévalant - de façon contrôlée - une sorte de pierrier, anciennement balisé en pointillés jaunes, pour lequel les autorités publiques ont obtenu le dé-balisage en tant que sentier de randonnée à la suite d’un incendie, le 24 février 2013.
Le Grand Malvallon (« malvallon » : mauvais vallon) tient certainement son nom de sa topographie particulière : il offre un cheminement sur des sentiers qui peuvent paraître rébarbatifs, dans des gorges très pittoresques prises entre de hautes murailles parsemées parfois de petits pics et de séries de têtes rocheuses.

En traversant le Plan des Cailles, nos trois Morses randonneurs retrouvent la civilisation avec les cabanons de la calanque de Marseilleveyre.

Ce secteur tient son nom des nombreuses cailles que l'on peut y chasser lors de leur passage migratoire, à la fin août, début septembre.
De tous temps, les pêcheurs de Mazargues rejoignaient leur cabanon de la Calanque de Marseilleveyre en empruntant ce chemin qui partait du Plan des Cailles de la Calanque de Marseilleveyre, montait en direction du Pas de la Selle puis filait vers la Fontaine de Voire et Mazargues.
A partir de la calanque de Marseilleveyre, c’est le retour par le GR 98 qui suit le bord de mer. Nos Morses au grand cœur s’étonnent de croiser des promeneurs avec des enfants très jeunes, malgré la chaleur et le cheminement parfois périlleux sur des cailloux de toutes formes, polis et rendus glissant par les nombreux passages.
Le bilan est éloquent : plus de trois heures de marche dans, parfois, des passages difficiles, mais les Morses marcheurs paraissent infatigables car motivés ; sauf, peut-être, JC qui a vécu et surmonté - sur une partie glissante du GR 98 - une phase brève d’épuisement physique et de baisse du moral.
Comme chaque année, l’engagement des bénévoles, des institutions publiques, des entreprises et des associations font de cet opération un moment fort, convivial et de qualité et permettent de mettre toujours plus en lumière la problématique des déchets sauvages.

En milieu marin, les déchets solides et visibles (flottants, échoués et sur les fonds) sont appelés macrodéchets pour les différencier des micropollutions (bactériologiques, chimiques, etc.). Ils ont des effets dévastateurs sur la faune, la flore et les milieux dans lesquels ils s’accumulent.
La nature (bactéries, insectes, vers de terre, etc.) ne sait pas digérer les matières synthétiques, elles doivent donc rester dans un circuit de transformation maîtrisée par l’homme (poubelle, collecte, valorisation).
En ce samedi 25 mai 2019, branle-bas de combat chez les Morses du Bout du monde : constitution des palanquées pour les macrodéchets flottants et sur les fonds et répartition des missions entre ceux qui restent sur le quai pour assurer la sécurité, ceux qui récupèrent les sacs de déchets ramenés par les plongeurs.
Pour Geneviève, Sandrine, Didier, Henri, Luc, Bruno, Frédéric et Jean-Claude c’est une mise à l’eau depuis le quai de la petite digue du port de Callelongue. Comme à chaque opération de ramassage, un sort est donné aux boîtes, bouteilles, plastiques divers, déchets en verre, accumulateurs et piles électriques, mégots de cigarette avec filtre, etc.

Jean-Claude, équipé de caméra avec pour binôme Frédéric, a pour mission de faire des images sous-marines pour documenter l’évènement.
Après environ une heure de plongée et une profondeur maximale de 19 mètres, ils sont de retour à la Base après une collecte de quelques boites de jus de fruits, des bouteilles plastique, tuyaux, câbles, piles, ferrailles, beaucoup moins que les années précédentes.
La sécurité en surface, la récupération et la pesée des sacs de déchets ramenés par nos plongeurs sont assurées par des personnes dignes de confiance: Lucien et Marc.
Le bilan est moins lourd que l’an passé, c’est certainement un bon signe sur le niveau de prise de conscience des citoyens.
La convivialité est aussi au rendez-vous à ce grand nettoyage de Callelongue, sous forme d’un pot de l’amitié avec tous les participants à cette opération : des cabanoniers, les membres du CIQ de "Callelongue/Marseilleveyre" ainsi que les plaisanciers du cercle nautique.
Le 18 mai 1978, la Légion étrangère (2ème régiment étranger parachutiste) saute sur la ville minière de Kolwezi au Zaïre (actuelle République démocratique du Congo) pour délivrer les otages européens retenus par des rebelles katangais.

Le samedi 18 mai 2019, alors qu’une poignée de Morses part pour une plongée d’exploration, Jean-Claude saute sur l’occasion d’aller crapahuter en direction de la grotte de Saint-Michel d’Eau Douce avec son habituel compagnon de marche et binôme de plongée.
Cette grotte, située sur les hauteurs de Callelongue, est constituée d’une vaste galerie qui a été scindée en plusieurs salles par des éboulements ou d’importantes coulées de concrétions calcaires. Un passage sous les blocs permet d’accéder à des salles basses à 12 m de profondeur.

Ne prenant pas le chemin habituel, Marc entraine notre vaillant président de MSLC dans l’aventure de l’Escalier des Géants, qui se trouve tout au fond de la calanque de Callelongue, dans la faille du Vallon Saint-Michel.
Le nom de ce passage rocheux est sans doute un clin d’œil au Palais des Doges situé sur la place Saint-Marc à Venise, un bâtiment officiel siège du pouvoir au XVème siècle, qui nécessita la construction d’un passage monumental surnommé l’Escalier des Géants.
Cet escalier se compose de plusieurs paliers plus ou moins difficile à franchir, le dernier se révélant infranchissable pour un président dynamique trahi par l’âge ; il aurait fallu une corde de rappel assurant la sécurité des deux Morses randonneurs. Voir photo avec l’inscription en jaune « Escalier des Géants » peinte sur le rocher.

A l’impossible, nul n’est tenu et nos deux compères redescendent non sans mal, car le cheminement retour est bien plus difficile et dangereux que la montée.
Bref encore une sacrée balade dans le massif de Marseilleveyre.
La station radioélectrique des Morses utilise, pour communiquer avec la station de bord du Suscle ou du Barracuda, des ondes métrique en VHF (Very High Frequency) sur les voies (souvent appelées « canaux ») 6, 8, 72 et 77 exclusivement réservées aux communications navire-navire.
Compte tenu de la propagation en ligne droite des ondes métriques, l’antenne de type fouet vertical doit être avantageusement placée le plus haut possible, afin d’assurer la meilleure portée.
C’est Pierre, notre ingénieur maison, qui se met à l’ouvrage. Il est inspiré par l’exemple de Guglielmo MARCONI (1874 - 1937) physicien, inventeur et homme d'affaires italien, considéré comme l’un des inventeurs de la radio et de la télégraphie sans fil (prix Nobel de physique en 1909).
En effet, notre antenne est une antenne Marconi dont la longueur est normalement égale à un multiple impair du quart de la longueur d'onde.
Plus modestement, Frédéric assure la consolidation de la pergola en paillasson de Camargue en déployant des moyens qui ont fait leur preuve.
Durant les VIIème et VIème siècles av. JC, durant la période archaïque, les Grecs, grands navigateurs, allèrent coloniser d’autres régions de la Méditerranée.
Tandis que 600 av.JC, dans la calanque du Lacydon, Protys, le Phocéen, sous le charme de Gyptis, fille du roi Ségobrige fondait Massalia.

D’autres colons grecs, doriens, débarquèrent sur les côtes méditerranéennes, ils voulaient, par ces colonies, asseoir leur puissance comme c'était l’usage dans la Grèce antique.
Par sa situation géographique, son climat et sa terre fertile, la Sicile fut une destination privilégiée.

Ces hommes, navigateurs émérites et "orfèvres" en matière d’architecture aussi bien que de commerce fondèrent des "Cités" entre autres :
Naxos. (entre Catane et Messine au pied de l’Etna, fondée par des grecs venus de Chalcis, (ile d'Eubée) et d'Ionie (au nord de la Grèce)
Syracuse. (Sud-Est de la Sicile, fondée par des corinthiens)
Mégara Hybléaïa. (Entre Catane et Syracuse fondée par des Grecs venus de Mégare située sur l'isthme de Corinthe.
Géla. (Sur la côte sud de la Sicile, fondée par des Rhodiens et des Crétois, alliés pour la circonstance. Géla qui vit, 2500 ans plus tard, le 10 juillet 1943, débarquer la 1ère division de la VIIème armée américaine commandée par Patton.

Ayant l’expansionnisme dans leurs gènes, ils ne tardèrent pas à créer d’autres cités.

De cette époque subsistent des vestiges magnifiques témoignant du génie de nos ancêtres.
Immergeons-nous (pour une fois) dans le passé,
De Naxos in-situ, très peu de vestiges subsistent, par contre Taormina, voisine, magnifique sur son piton, malgré les tentatives de destruction. Le théâtre grec date du IIIème – IIème siècle av.JC
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Théâtre grec. Taormina sur le piton, au 1er plan, Naxos actuel |
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A Syracuse, nous scaphandriers, ayons d'abord une pensée pour Archimède qui y vécut et y mourut sous le glaive d’un soldat romain qui ne sut certainement jamais la quantité de savoir dont il priva l’humanité.

Syracuse, puissante à l’époque concernée, fonde plusieurs citées. Un peu plus tard, au 5ème siècle av. JC, les tyrans (Titre que portaient les souverains, il existait des bons et mauvais tyrans) dominaient Syracuse.
Ces tyrans continuèrent à bâtir, souvent sur les constructions existantes. Les Romains prirent la suite.
Il nous reste le théâtre construit au Vème siècle av. JC, toujours utilisé aujourd’hui, les gradins sont recouverts de planches et la scène encombrée de matériel sono, ce qui nous prive de l’admirable travail des anciens.
En revanche, le nymphée est intact.
Un de ces tyrans, Denys (Dionisio), utilisa une caverne à la forme particulière (oreille n'est pas usurpée), pour y enfermer ses prisonniers, haute d’une vingtaine de mètres, il y a à son sommet une cavité qui répercutait les sons venus du bas. Denys savait ainsi tout le bien que l’on pensait de lui. L’histoire passe les représailles sous silence. Denys avait pour précepteur Aristote qui repartit pour la Grèce, poussé par la mégalomanie grandissante du Tyran.
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| Le Théâtre grec | Le Nymphée | L'Oreille de Denys |
Megara Hybleaïa fut fondée vers 750 av. JC, au nord de Syracuse, par des colons venus de Mégare à l'est de l'isthme de Corinthe. Un Siècle plus tard, toujours poussés par l’expansionnisme ils fondèrent Sélinonte au sud-ouest de la Sicile.
En 480 av. JC, le tyran de Syracuse rasa Mégara, seuls les soubassements subsistent avec quelques sols ornés de pierres enchâssées, ancêtres de la mosaïque.

Par contre, à Sélinonte, fondée une centaine d'année plus tard par Mégara, le temple d’Héra (Junon), bien que reconstruit avec ses propres ruines donne une idée de ce qu’il fut, dédié au culte de la déesse.

D’autres temples dédiés à d’autres dieux n’ont pas résisté au temps, aux invasions et aux tremblements de terre.
Des pierres gisent autour des ruines de ce que furent les temples, de superbes colonnes doriques jonchent le sol, les pièces des futs dans l’ordre qu'ils avaient lorsqu’ils étaient debout.
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Les colonnes doriques sont les plus anciennes et |
Malgré son nom, le site s’étend au sommet d’une colline sur près de 1 000 hectares, est ceint d’une muraille.La Vallée des Temples est un vaste site archéologique construit à Agrigente par des colons de Géla sur la côte sud de la Sicile vers 580 av. JC.
On peut y dénombrer 1 acropole et 11 temples. Deux d’entre eux méritent que l’on s’y attarde.
Le temple de la Concorde doit son état de conservation étonnant à sa conversion en église, (ainsi nommé à cause du mot concorde retrouvé sur une sculpture et, qui n'a aucun lien avec le temple originel).

Le temple de Zeus, est détruit, les éléments à terre laissent apparaitre des caractéristiques qui en font l’un des rares construit selon cette architecture. En effet, la plupart des temples sont entourés de colonnes cylindriques (périptère) laissant l’intérieur ouvert aux 4 vents.
Dans le cas présent, les colonnes doriques sont semi cylindriques et reliées par un mur jusqu’à mi-hauteur, l’architrave entre les colonnes est soutenu par des Télamons (ou Atlantes, Cariatides masculins) symbolisant les prisonniers Carthaginois, qui construisirent le temple, figés dans une posture humiliante dans la pierre pour des siècles.
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| Demi-chapiteau dorique | Télamon ou Atlante | Maquette du Temple de Zeus |
Ségeste, citée construite par les Elymes, civilisation sicilienne dont la population était issue, selon la légende, par des Troyens fuyant Troie après sa chute et la population autochtone de l’ile, les Sicanes.
Des livres existent sur ce site, il serait prétentieux de tout développer en quelques lignes.
Le temple dont on ignore le dieu auquel il était dédié, est d’architecture dorique avec périptère, l’état de conservation est étonnant pour une construction qui date du Vème siècle av. JC. Certains indices portent à croire qu’il n’a jamais été terminé, (les colonnes non encore cannelées et le fait qu’il semble n’avoir jamais été couvert).

Le théatre, construit au IIIème siècle av. JC, pouvait accueillir 4 000 spectateurs. Les gradins sont presque intacts, par contre la scéne a disparu.
Plus que des mots, ces images expliquent les termes "ésotériques" utilisés dans la description des monuments.


Seul l'aspect de la pierre brute nous est parvenu, les Grecs considéraient cet aspect comme une hérésie. Tous leurs édifices, y compris les temples étaient décorés de couleurs chatoyantes. L'image représente le temple de la Concorde tel qu'il était.
Un bond de 8 siècles nous emmène à la villa Romane del Casale, construite vers la fin du IIIème siècle ap. JC, sous domination romaine.
C’est un émerveillement, 3 500m² de mosaïques polychromes.
Une telle finesse rapproche de l’aspect d’une peinture.
Voici quelques scènes parmi des dizaines d’autres plus belles les unes que les autres.
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| Parquet d’une salle à manger | Scène de chasse | Les pièces ont moins d’un cm de coté |
Autour du péristyle (cour entourée de colonnes) des médaillons représentent des têtes d’animaux, fauves, oiseaux etc..

A gauche, ces femmes sportives sont le seul exemple, dans cet état de conservation, les représentant en plein exercices physiques que jusque là, on pensait être réservés qu'aux hommes. Un pan de croyances érronées s'écroule avec ce témoignage historique.
Sans oublier les mœurs grivoises des Romains à droite.
Comment quitter la Sicile sans voir les forges d’HéphaÏstos (dieu du feu et des volcans), gardées par les cyclopes, c’est là qu’Ulysse rencontra Polyphème et lui creva son œil unique. Aveuglé, dans sa fureur, il jeta sur le bateau d'Ulysse d’énormes rochers qui sont toujours visibles près de Naxos (voulons croire en la légende), d'ailleurs la côte à cet endroit s’appelle la « Côte des Cyclopes ».

Ce sont bien des fumeroles, Héphaïstos y travaillerait-il toujours???
Le voyage dans le temps est terminé.
Si vous aimez les pierres, si vous savez les écouter, combien d'histoires entre la légende et la réalité peuvent-elles vous conter???
J’écris ces quelques mots en guise de témoignage d’une journée pleine de vie et de découverte au sein du club MSLC à Callelongue!
Un départ matinal et une plongée au cœur de la faune et de la flore marine des plus beaux fonds de la région!
La session fut plutôt fraîche en ce mois de mai mais le challenge en valait bien la peine!
A la suite de ce moment agréable et plein d’émotion, une bonne douche chaude pour réchauffer le corps puis un super moment familiale autour d’une table tous ensemble!
Je ne connaissais personne et pourtant j’ai eu cette impression de rapidement être l’une d’entre eux!
Le partage était au rendez-vous spontanément alors que j’étais arrivée les mains dans les poches pensant simplement plonger et rentrer!
A la suite de cette expérience, je n’ai qu’une seule envie, c’est de la vivre de nouveau!
En plus de ça, je n’ai pas encore de matériel m’appartenant alors ils m’ont prêté tout le nécessaire sans se poser de question!
Ils ont aussi su me mettre à l’aise et mis tout en œuvre pour m’arranger au niveau des équivalences de niveau entre le PADI et les niveaux FFESSM (français) et se sont penchés sur le sujet afin que je puisse évoluer et avoir l’occasion de continuer à passer les niveaux équivalents sans recommencer depuis le début.
Honnêtement c’est une équipe exceptionnelle et pleine de joie, de connaissance, de bonté et d’entraide.
Je n’ai ressenti aucun jugement chez aucun d’entre eux!
Bien au contraire, uniquement des mains tendues et des âmes saines!
Je les remercie énormément pour cette première journée et vivement la prochaine!
Cette fois-ci je porterai de quoi manger et boire, c’est promis!
La simplicité et la gaieté sont plus qu’au rendez-vous! Ils sont encrés en eux! Merci pour tout!
À très vite!
PS: j’ai aussi eu la chance de découvrir des films de plus de 40 ans et si je ne me trompe pas ils font partie des premiers films réalisés sous l’eau! Fantastiques et remplis d’imagination et d’humour sans pour autant s’éloigner de l’intérêt intellectuel!
Bravo Jean-Claude pour ce moment de cinéma! Bien d’autres m’attendent!
Résultats —> je me suis inscrite à l’année et pris une carte de 10 plongées que j’ai hâte de vivre!
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